La préparation est la clé de votre projet de transmission. Pour céder une entreprise, quel que soit le repreneur, il y a plusieurs étapes à respecter pour le succès de l’opération.
Céder une entreprise ne se fait pas du jour au lendemain. Mieux vaut s’y prendre plusieurs années à l’avance et anticiper toutes les questions. L’improvisation ne peut engendrer qu’un échec. En fonction du successeur espéré, plusieurs pistes peuvent être envisagées.
Céder une entreprise à un membre de sa famille
A priori simple, c’est le cas de figure qui demande la plus grande anticipation. Afin de légitimer l’autorité et les compétences du repreneur, on pourra l’envoyer à l’étranger ou en tout cas, dans une autre entreprise de la même envergure. Une fois qu’il ou qu’elle aura “fait ses classes”, on pourra l’intégrer au sein de la société.
Pour autant, avant de lui transmettre, il doit encore faire ses preuves. C’est pourquoi il se verra confier différentes fonctions, afin de connaître, de l’intérieur, les postes et les départements, ainsi que les procédures et les problématiques de l’entreprise. Cette manière de céder une entreprise permet d’éviter les conflits générationnels mais il exige une préparation qui peut prendre 7 à 8 ans.
Lire aussi : La transmission familiale en Belgique
Comment préparer la cession à un tiers ?
Dans tous les autres cas de figure, on peut envisager une préparation à la transmission plus courte, de l’ordre de 1 à 2 ans. Il existe des différences sectorielles : un artisan transmet un carnet d’adresses et un savoir-faire pratique. S’il ne forme pas un apprenti, son entreprise disparaît avec lui. Dans le cas d’un commerce, c’est plutôt une enseigne, une clientèle plus ou moins fidèle, de bonnes relations avec les employés et les fournisseurs, etc.
Si l’on identifie un successeur en interne, il convient de rapidement lui confier des responsabilités plus importantes, de le faire monter en hiérarchie. Ce qui implique pour le dirigeant d’être capable de lâcher les rennes de certaines décisions. Enfin, de nombreuses questions pratiques, financières, fiscales et juridiques doivent être réglées : diagnostic de l’entreprise, évaluation de la valeur de la société, évaluation des conséquences fiscales de la vente, vérification de la bonne tenue comptable, préparation d’un dossier de cession, etc.
Lire aussi : Quel(s) diagnostic(s) avant de céder son entreprise ?
Pour vous accompagner dans la cession de votre entreprise, faites appel aux consultants Actoria Belgique , experts depuis plus de 20 ans en transmission.
Comment se préparer à céder une entreprise ?
La préparation est la clé de votre projet de transmission. Pour céder une entreprise, quel que soit le repreneur, il y a plusieurs étapes à respecter pour le succès de l’opération.
Céder une entreprise ne se fait pas du jour au lendemain. Mieux vaut s’y prendre plusieurs années à l’avance et anticiper toutes les questions. L’improvisation ne peut engendrer qu’un échec. En fonction du successeur espéré, plusieurs pistes peuvent être envisagées.
Céder une entreprise à un membre de sa famille
A priori simple, c’est le cas de figure qui demande la plus grande anticipation. Afin de légitimer l’autorité et les compétences du repreneur, on pourra l’envoyer à l’étranger ou en tout cas, dans une autre entreprise de la même envergure. Une fois qu’il ou qu’elle aura “fait ses classes”, on pourra l’intégrer au sein de la société.
Pour autant, avant de lui transmettre, il doit encore faire ses preuves. C’est pourquoi il se verra confier différentes fonctions, afin de connaître, de l’intérieur, les postes et les départements, ainsi que les procédures et les problématiques de l’entreprise. Cette manière de céder une entreprise permet d’éviter les conflits générationnels mais il exige une préparation qui peut prendre 7 à 8 ans.
Lire aussi : La transmission familiale en Belgique
Comment préparer la cession à un tiers ?
Dans tous les autres cas de figure, on peut envisager une préparation à la transmission plus courte, de l’ordre de 1 à 2 ans. Il existe des différences sectorielles : un artisan transmet un carnet d’adresses et un savoir-faire pratique. S’il ne forme pas un apprenti, son entreprise disparaît avec lui. Dans le cas d’un commerce, c’est plutôt une enseigne, une clientèle plus ou moins fidèle, de bonnes relations avec les employés et les fournisseurs, etc.
Si l’on identifie un successeur en interne, il convient de rapidement lui confier des responsabilités plus importantes, de le faire monter en hiérarchie. Ce qui implique pour le dirigeant d’être capable de lâcher les rennes de certaines décisions. Enfin, de nombreuses questions pratiques, financières, fiscales et juridiques doivent être réglées : diagnostic de l’entreprise, évaluation de la valeur de la société, évaluation des conséquences fiscales de la vente, vérification de la bonne tenue comptable, préparation d’un dossier de cession, etc.
Lire aussi : Quel(s) diagnostic(s) avant de céder son entreprise ?
Pour vous accompagner dans la cession de votre entreprise, faites appel aux consultants Actoria Belgique , experts depuis plus de 20 ans en transmission.
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